Voyage en Saône-et-Loire

Dans le cadre du tricentenaire de la naissance de Jacques-Germain Soufflot (1713-1780), le Ghamu, en partenariat avec l’association Mohican, organise des journées d’étude en Bourgogne intitulées « Patrimoine et santé: de Soufflot à nos jours ». À cette occasion, des visites, prenant la forme d’un voyage d’étude, sont prévues en Saône-et-Loire les jeudi 10 et vendredi 11 octobre 2013 :

Jeudi 10 octobre (Après-midi)

– Mâcon : visites de l’hospice de La Charité et de l’hôtel-dieu de Mâcon (sous réserve).

Vendredi 11 octobre

Départ le matin de Mâcon

Matin:

– Bergesserin et Couches : visites des sanatoriums.

– Montceau-les-Mines : visite du dispensaire de la Croix-Rouge.

Arrêt gare TGV Le Creusot vers 12h30, pour ceux qui souhaiteraient nous quitter.

Déjeuner entre Monceau-les-Mines et Le Creusot

Après-midi :

– Le Creusot : visite de l’hôpital (sous réserve).

– Chalon-sur-Saône : visite de l’hôpital Saint-Laurent.

Les visites devraient se terminer à Chalon-sur-Saône vers 19h.

Si vous souhaitez participer aux visites prévues dans le cadre de ces journées (sous réserve), veuillez remplir la fiche d’inscription ci-jointe, à retourner avant le 30 septembre.

Attention, le nombre de places est limité !

Chaque personne est responsable de sa réservation de chambre et de ses titres de transport. Seul le car du vendredi est réservé par le Ghamu. Attention, il est prudent de retenir dès maintenant, ou du moins avant l’automne, les chambres dans les hôtels.

Suggestion d’hôtels

Dijon :

 Hôtel du Palais
23, rue du Palais,
21 000 Dijon
03 80 65 51 43
Tarifs : 69 € – 111€

 Ibis Dijon Gare
15 A, avenue Albert Ier,
21 000 Dijon
03 80 43 01 12
Tarifs : 67 € – 96 €

 B&B Dijon Centre
5, rue du Château,
21 000 Dijon
0 892 70 75 06 Tarifs : 48 € – 55 €

 Hôtel Le Jacquemart
32, rue Verrerie,
21 000 Dijon
03 80 60 09 60
Tarifs : 38 € – 62 €

Mâcon :

 Ibis Styles Mâcon Centre
91, rue Victor Hugo,
71 000 Mâcon
03 85 39 17 11
Tarifs : 80 € – 108 €

 Inter Hôtel de Bourgogne
6, rue Victor Hugo,
71 000 Mâcon
03 85 21 10 23
Tarifs : 69 € – 88 €

 Hôtel de Genève
1, rue Bigonnet,
71 000 Mâcon
03 85 38 18 10
Tarifs : 49 € – 63 €


Pour en savoir plus, lire l’article du colloque du Tricentenaire Soufflot…

Toits d’Europe. Formes, structures, décors, identités, usages du toit à l’Âge moderne (XVe, XVIe, XVIIe siècles)

_ Colloque sous la direction d’Alexandre Gady et Monique Chatenet, avec le soutien du conseil scientifique et de l’école doctorale VI (Histoire de l’art et archéologie) de l’université Paris-Sorbonne.

Partie constitutive de l’architecture, le toit appartient aussi bien à la structure qu’à la silhouette d’un édifice. S’il est destiné à protéger de l’eau le bâtiment qu’il couronne, il n’en est pas moins le lieu d’une démonstration formelle, qu’exprime justement bien en français la notion de « couronnement ». Son étude croise aussi bien des problématiques techniques (la charpente, les toits en terrasse) qu’esthétiques (volumes prismatiques de la charpente, couleurs de la couverture), voire culturelles (usages des toits où l’on se promène), ouvrant sur des questions décoratives (ornements « affirmant » le toit, ornements masquant le toit) et identitaires (aires culturelles de certains types de toits, importation de modèles « étrangers »). Ces axes de réflexion, non exhaustifs, doivent permettre de sortir des lectures climatologiques ou exclusivement techniques, tout en réfléchissant à l’échelle européenne.

Télécharger le programme du colloque


Informations pratiques

Dates : 12, 13 et 14 juin 2013.

Lieu : INHA, 2 rue Vivienne, 75002 Paris. Galerie Colbert, Salle Vasari, 1er étage.

L’Europe de Rubens

_ Évoquant la culture artistique européenne qui compta pour Rubens, l’exposition rassemble à la fois des peintures, dessins, sculptures et objets d’art. Elle tente de restituer le dynamisme de la création « rubénienne » et traduit le caractère spectaculaire de son inspiration. Elle offre aussi des moments intimes, dévoilant un Rubens plus personnel.

Né près de Cologne, installé à Anvers après un long séjour en Italie, actif à la cour d’Espagne, de France et d’Angleterre, Rubens (1577-1640) est un artiste à dimension européenne. Créateur de renom mais également diplomate, épistolier et entrepreneur, son travail est largement déterminé par le contexte européen sur le plan politique, social, religieux et économique.

Ainsi, la première exposition internationale du Louvre-Lens vise à éclairer l’époque de Rubens, à travers plus de 170 œuvres de l’artiste, de ses modèles et de quelques-uns de ses contemporains, issues des collections du Louvre et de prestigieux musées européens et américains.

Pour la clarté du propos, l’exposition est organisée autour de 6 thématiques :

– L’Europe des cours

– Émotion religieuse et foi baroque

– Monumentalité éphémère

– Rubens, émulation et concurrence

– Rubens et la république des lettres

– Les voies du génie

Le commissariat de l’exposition est assuré par Blaise Ducos, conservateur au département des Peintures du musée du Louvre, spécialiste des peintures flamandes et hollandaises, assisté de Jahel Sanzsalazar, historienne de l’art. Le comité scientifique est présidé par Marc Fumaroli, du Collège de France, et rassemble : Paul Huvenne, Musée Royal des Beaux-Arts d’Anvers, Jeroen Duindam, Université de Leyde, Arnout Balis, Rubenianum d’Anvers, David Jaffé, ancien conservateur à la National Gallery de Londres.


Informations pratiques :

Louvre-Lens, Galerie temporaire des expositions

du 22 mai au 23 septembre 2013

Horaires :

ouvert tous les jours, sauf le mardi, de 10h à 18h

Tarifs :

Plein tarif : 9 euros – Tarif réduit : 8 euros

Billetterie en ligne

Visite guidée les vendredis et samedis à partir de 16h (durée 1h), point de rencontre dans la Grande Galerie.

Tarif : 5 euros (tarif réduit : 3 euros).


Présentation de l’exposition L’Europe de Rubens par Blaise Ducos, conservateur au musée du Louvre, spécialiste des peintures flamandes et hollandaises, à l’auditorium du Louvre le 20 juin 2013, à 12h30. Durée 1h.

Réservations :

– Par téléphone : Au 01 40 20 55 00, du lundi au vendredi (sauf le mardi), de 11h à 17h, uniquement par carte bancaire.

– Sur place, à la caisse de l’auditorium, du lundi au samedi (sauf le mardi) de 9h à 17h30, jusqu’à 19h30 les mercredis et vendredis.

Informations :

01 40 20 55 55, de 9h à 19h du lundi au vendredi.

Plein tarif : 6 euros – Tarif réduit : 5 euros.

Festival de l’Histoire de l’Art à Fontainebleau

_ Le troisième Festival de l’histoire de l’art aura lieu le 31 mai,
1er et 2 juin 2013
à Fontainebleau avec une programmation placée, comme les années précédentes, sous la responsabilité scientifique de l’INHA.

Conçu et organisé par le ministère de la Culture et de la
Communication, le château de Fontainebleau et l’INHA, le Festival
accueille cette année encore chercheurs, professionnels et étudiants
de toutes les spécialités et de tous les métiers relevant de
l’histoire de l’art, dans le cadre d’un programme élaboré par un
comité scientifique qui compte notamment des représentants des
institutions présentes dans la Galerie Colbert.

Entièrement gratuit, ce Festival s’adresse à tous ceux qui
souhaitent mieux connaître les mille aspects de l’histoire de
l’art.

Au programme de cette troisième édition, plus de deux cents
manifestations dans les salles du château et dans plusieurs sites de la
ville de Fontainebleau : des débats, des lectures, des projections… animés par quelque trois cents intervenants.

 À cette occasion, Vincent Droguet, conservateur en chef au château de Fontainebleau et commissaire de l’exposition avec Thierry Crépin-Leblond, conservateur général et directeur du musée national de la Renaissance – Château d’Écouen, fera une visite de l’exposition Le Roi et l’artiste : François Ier et Rosso Fiorentino (23 mars – 24 juin 2013), le samedi 1er juin de 15h à 16h30.

Un thème : l’Éphémère

Comme chaque année, un thème est mis à l’honneur en 2013 :
l’Éphémère, et ce sera donc l’occasion de faire le point sur les
arts de la fête du Moyen Âge au XIXe siècle, sur la notion de
fugacité dans l’art contemporain, sur l’iconographie du mouvement
et du fugitif, ou encore sur le rôle des expositions temporaires dans
la vie des musées.

Un pays invité : le Royaume-Uni

Des rendez-vous annuels :

– le Salon du livre et des revues d’art : plus de soixante-dix
éditeurs et quatre libraires présentent un large panorama de
l’édition d’art française et européenne ;

– Art & Caméra, la section du Festival consacrée au septième art, et
en particulier aux films sur l’art ;

– le Forum de l’histoire de l’art, où sont abordées les questions
d’actualité touchant au patrimoine, à la recherche en histoire de
l’art et au marché de l’art ;

– l’Université de printemps : il s’agit d’ateliers pédagogiques
destinés aux personnes assurant l’enseignement de l’histoire des
arts à l’école.

Pour en savoir plus…

Télécharger le programme.

Visite  » Sur les pas de Jules Dalou à travers Paris « 

_ À l’occasion des expositions Dalou (1838-1902), le sculpteur de la République au Petit Palais, et Dalou, Regards sur le XVIIIe siècle au musée Cognacq-Jay du 18 avril au 13 juillet 2013, l’association Paris Z’Est organise une visite commentée des lieux parisiens accueillant les œuvres du célèbre sculpteur et invite les membres du Ghamu qui le souhaiteraient à profiter de ce parcours le dimanche 16 juin à 14h30.


Informations pratiques

Nous partirons de la place de la Nation pour aller ensuite dans les 18ème, 17ème, et 16ème arrondissements. Il sera possible pour les plus courageux de terminer la balade au Luxembourg.

Evidemment, les déplacements se feront en métro et en bus ; prévoir à cet effet 5 tickets.

Quelques places sont encore disponibles, inscrivez-vous vite sur pariszest@gmail.com ! La réservation est obligatoire, le lieu de rendez-vous sera précisé par retour de mail.

Avis aux plus rapides !

Participation aux frais : 10 € (5 € pour les membres de Paris Z’Est, de l’A.H.AV. et du GHAMU).

La rénovation du musée de Picardie à Amiens

_ Josiane Sartre, lors de l’Assemblée Générale du GHAMU du 29 avril 2013, a informé ses membres du projet de rénovation du musée de Picardie confié au Cabinet d’architecture Frenak et Jullien en 2012 par Amiens Métropole, maître d’ouvrage et fait part des inquiétudes qu’il suscite.

Rappelons que la Société des Antiquaires de Picardie fut à l’origine de la construction du musée, entre 1855 et 1867, dont les plans furent confiés aux architectes Henri Parent (1819-1895) jusqu’en 1855 puis à Arthur Diet (1827-1890) après cette date. La Société en fit don à la ville d’Amiens en 1869 avec les premières collections d’art qu’elle avait réunies.

Nous faisons référence au chapitre de Bruno Foucart « Le Musée du XIXe siècle : temple, palais, basilique », p.122-135 du catalogue de l’exposition La Jeunesse des musées. Les musées de France au XIXe siècle, sous la direction de Chantal Georgel, Paris, musée d’Orsay, 7 février-8 mai 1994.
Bruno Foucart, dans son analyse des attributs communs aux grands musées du XIXe siècle, nous révèle la place primordiale occupée par le musée de Picardie.
Il met en évidence notamment, comment « dans la ville du XIXe siècle, le musée… a valeur de cathédrale des temps nouveaux… était prédestiné à l’alliance avec les sciences et les lettres… À Amiens, le musée de Picardie… accueille au rez-de-chaussée la Société des antiquaires de Picardie, son savoir, ses archives », comment sa place dans la ville est loin d’être indifférente, « le musée avait droit à être présent dans le centre même des pouvoirs… musée et préfecture sont séparés par une rue en Picardie. » Il nous montre aussi comment le modèle du Louvre s’impose dans l’imaginaire national et dans celui des constructeurs du musée de Picardie lequel « dès ses débuts avait eu l’ambition de constituer le petit Louvre de la province. Le pavillon central, tel que conçu par Parent et Diet, renvoie directement aux pavillons de la cour Napoléon, qui eux-mêmes transposent celui de Lemercier sur la cour Carrée… ».

Hormis le fait que la Société des Antiquaires de Picardie fut à l’initiative de la construction et fit don du musée à la ville d’Amiens, ces données historiques, rapidement résumées, justifient pleinement les réserves émises par la SAP sur les modifications qui seraient apportées à la façade et à la cour d’honneur du musée et nous vous invitons à prendre connaissance du communiqué de son Conseil d’Administration du 25 mars 2013.
Faut-il ajouter, qu’il semblerait utile qu’un dialogue s’engage entre les acteurs du projet et la Société des Antiquaires de Picardie.

Lire le communiqué de la Société des Antiquaires de Picardie.

Colloque – Saint-Martin-des-Champs. Une histoire d’avant le Cnam…

_ C’est la première fois qu’un colloque historique est entièrement
dédié au prieuré clunisien de Saint-Martin-des-Champs. Ce monastère
de fondation royale, né au XIe siècle sur les ruines d’une
basilique mérovingienne, fut pourtant l’un des plus renommés de
Paris, sous l’Ancien Régime.

Conçue en écho à la parution du livre d’Alain Mercier, [La
Deuxième Fille de Cluny, grandeurs et misères de
Saint-Martin-des-Champs->http://www.arts-et-metiers.net/musee.php?P=214&id=418&lang=fra&flash=f]
, (Glénat/Le Cnam, 2012), cette journée
proposera sept communications remarquables par leur diversité. Elle se
tiendra sur les lieux mêmes où vécurent les moines de
Saint-Martin-des-Champs et où s’installa le Conservatoire des Arts et
Métiers au moment de la Révolution.

Au fil des communications, la « Deuxième Fille de Cluny » nous
livrera quelques-uns des secrets qui émaillèrent sa longue histoire.

Comment les fouilles archéologiques des années 1993-1994
permirent-elles de révéler la basilique qui préexista à
Saint-Martin-des-Champs ? Quelle fut l’importance du culte marial
pour les moines du prieuré ? Que nous apprend le « Registre Bertrand
», passionnant témoignage sur la vie martinienne au XIVe siècle ?
Sur quel territoire le prieuré pouvait-il appliquer sa justice
seigneuriale et prélever ses impôts ? Quelles réformes modifièrent
profondément la vie clunisienne à Saint-Martin- des-Champs ? Et que se
passait-il au XVIIe siècle dans cette pièce mystérieuse appelée «
la Voulte » ? Enfin, quelle fut la politique architecturale des
martiniens sous l’Ancien Régime ?

C’est à toutes ces questions que les historiens ici réunis, grands
connaisseurs du sujet abordé, répondront à l’occasion de ce
colloque.

Télécharger le programme du colloque


Informations pratiques

Cnam, Amphithéâtre C « Abbé Grégoire », 292 rue Saint-Martin, 75003 Paris.

Entrée libre, réservation conseillée au 01 53 01 82 70 ou musee-conf@cnam.fr.

Appels à communications – Tricentenaire Soufflot

Le tricentenaire de la naissance de Jacques-Germain Soufflot (1713-1780), inscrit aux Célébrations nationales de 2013, offre aux chercheurs l’occasion de poser un nouveau regard sur son œuvre et d’ouvrir de nouvelles perspectives. A cette occasion, l’association Ghamu organise un colloque à deux facettes.

Lire la suite

Visites d’églises parisiennes

De février à juin 2013, le dernier lundi de chaque mois entre 16h et 18h, le Ghamu organise la visite d’églises parisiennes du XVIIIe siècle :

 le lundi 25 février : l’architecture et le décor de l’église Sainte-Marguerite, sous la conduite de Frédéric JIMENO (Comité pour l’Histoire de Paris) et de Dominique MASSOUNIE (Université Paris Ouest Nanterre – La Défense). 16h30 – 18h

– se présenter à 16h devant le porche, 36 rue Saint-Bernard dans le 11e arrondissement.

 le lundi 25 mars : les tableaux de l’église Notre-Dame-de-Bercy, sous la conduite de Laetitia PIERRE (Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne). 17h00 – 18h

– se présenter à 17h devant le porche, 11 rue de la Nativité dans le 12e arrondissement.

 le lundi 29 avril : les tableaux et décor de l’église Saint-Merri, sous la conduite de Christophe HENRY (GHAMU). 16h30 – 18h

– se présenter à 16h30 devant le porche, 76 rue de la Verrerie, 4e arrondissement.

 le lundi 27 mai : le décor de l’église de Saint-Nicolas-du-Chardonnet, sous la conduite de Caroline BECKER (Université Paris Ouest Nanterre – La Défense). 16h – 17h30

– se présenter à 16h devant le porche, 23 rue des Bernardins dans le 5e arrondissement. La visite ne pourra se prolonger au-delà de 17h30.

 le lundi 24 juin : le décor de l’église Saint-Médard, sous la conduite de Christophe HENRY (GHAMU) et de Frédéric JIMENO (Comité pour l’Histoire de Paris). 17h – 18h45

– se présenter à 17h devant le porche, 141 rue Mouffetard dans le 5e arrondissement.


Les visites du Ghamu sont ouvertes à tous public, n’hésitez pas à vous inscrire au plus vite sur contact@ghamu.org.

Faire le répertoire des demeures médiévales à Paris : une gageure ?

_ Mardi 16 avril 2013 à 17h30, par Valentine Weiss (conservateur du patrimoine aux Archives nationales, directrice de publication de La demeure médiévale à Paris, Répertoire sélectif des principaux hôtels (Paris, Archives nationales, 2012).

Publié à l’occasion de l’exposition présentée aux Archives nationales sur la demeure médiévale à Paris (octobre 2012-janvier 2013), le répertoire des principales demeures médiévales à Paris concerne quelque deux cents hôtels de personnages laïques ou ecclésiastiques, situés pour la plupart à l’intérieur de l’enceinte de Charles V.

Il constitue à la fois une mise au point des études parisiennes réalisées à ce jour et un point de départ pour de nouvelles découvertes historiques.


Informations pratiques

Archives nationales, hôtel de Soubise, Chambre du Prince

60 rue des Francs-Bourgeois, 75003 Paris

(M° Rambuteau ou Hôtel de Ville).

Entrée libre dans la limite des places disponibles.

Pour en savoir plus…