Visite de l’hôtel de la Païva – le 23 décembre à 10h

_ L’association Paris Z’Est, association partenaire du Ghamu, nous convie à une visite de l’hôtel de la Païva, le dernier hôtel particulier du XIXe siècle subsistant dans le quartier des Champs Elysées, le dimanche 23 décembre à 10 heures.

Inscription obligatoire auprès de pariszest@gmail.com : 10€ pour les adhérents / 15€ pour les non adhérents.

Le lieu et l’heure du rendez-vous seront communiqués avec le courriel de la validation de votre inscription.

L’inscription est définitive à réception de votre chèque.

Inscrivez-vous vite : 8 places disponibles !

Informations pratiques

Association Paris Z’Est

37 rue Robert et Sonia Delaunay

75011 Paris

Assemblée générale, 17 décembre 2012

_ La prochaine Assemblée générale (exercice 2012) se tiendra le lundi 17 décembre 2012 à 17h à la Galerie des Gobelins, 42 avenue des Gobelins, Paris 13e.?

Les adhérents seront ensuite conviés à la soirée « André Chastel, le plaisir de l’histoire de l’art » organisée à l’occasion du Centenaire Chastel.

Nous comptons sur votre présence à tous !

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Centenaire de la naissance d’André Chastel

Célébration dans la cadre de l’association GHAMU

André Chastel avait accepté d’être le premier membre d’honneur du Ghamu. Son intronisation a eu lieu, lors d’une mémorable assemblée générale de l’association, au château de Courson le 12 mai 1984.

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Appel à communication Journées d’étude Villes en photographies

_ Les journées annuelles d’étude de la Société Française d’Histoire Urbaine, qui se tiendront les 17 et 18 janvier 2013 à l’Université Paris-Est Marne la Vallée, seront l’occasion d’interroger la place qu’occupe la photographie dans le champ de l’histoire urbaine.

Dès ses débuts, elle s’est imposée comme une source documentaire de premier plan, ce dont témoignent l’ampleur et la diversité des fonds photographiques documentant l’espace urbain. Les historiens de la ville, quelles que soient leurs périodes et leurs spécialités, y ont donc recours comme un outil de lecture des paysages urbains anciens et actuels. Le medium photographique est également mobilisé pour la collecte de données par les autres acteurs de la recherche urbaine – qu’ils soient archéologues, urbanistes, anthropologues, sociologues ou géographes.

Il est utile de proposer un état des lieux concernant les usages multiples du document photographique par les historiens et les autres spécialistes de l’urbain.

Les propositions de communication (en 2000 signes) devront parvenir avant le 10 décembre 2012

Le comité scientifique examinera les propositions et les réponses seront données le 15 décembre.

Voir l’appel à communidation sur le site de la SFHU

De la pierre à la page. Fernand Pouillon architecte du livre

_ Architecte flamboyant des Trente glorieuses, Fernand Pouillon est surtout connu par ses réalisations dans de nombreux pays et, en France, par la reconstruction du Vieux port de Marseille.

On connaît moins son amour des livres, qui l’a conduit à devenir éditeur de bibliophilie en 1973 avec sa maison d’édition Le Jardin de Flore. Possesseur d’une bibliothèque qui comportait des éditions marquantes et souvent rares, Fernand Pouillon a voulu offrir aux amateurs de son époque des rééditions de grands chefs-d’œuvre du XVIe au XIXe siècle, principalement des livres sur l’architecture, mais aussi sur les jardins, les costumes, les bijoux, les oiseaux.

Fernand Pouillon a fait appel aux meilleurs artisans, aux techniques et aux matériaux les plus exceptionnels pour ces rééditions, au moment où le livre et l’imprimerie entraient dans l’ère électronique. C’est ce que montre l’exposition, qui met face à face les livres originaux et les rééditions de Pouillon.

Catherine Sayen, dernière compagne de Fernand Pouillon, commissaire scientifique de l’exposition, a fait don au Musée de l’imprimerie de nombreuses rééditions du Jardin de Flore, de matériel graphique et technique (bois gravés, matrices d’impression, etc.). Avec ces éléments très concrets, le visiteur bénéficie ainsi d’un éclairage sur toutes les étapes de fabrication d’un livre, du papier à la reliure.

L’exposition De la pierre à la page présentée du 23 novembre 2012 jusqu’au 3 mars 2013 dévoile un aspect méconnu du grand architecte : il fut éditeur d’ouvrages de bibliophilie et, avec sa maison d’édition Le Jardin de Flore, redonna vie à des ouvrages rares et précieux. Avec cette exposition qui donne l’amour des beaux livres, découvrez aussi le parcours hors du commun d’un homme d’exception.

Informations pratique

Musée de l’imprimerie de Lyon

13, rue de la Poulaillerie

69002 Lyon

du mercredi au dimanche, 9h30-12h et 14h-18h.

tarifs : 5€ / 3€

Lyon au XVIIIe, un siècle surprenant

_ Au XVIIIe siècle, Lyon pense, Lyon imagine, Lyon construit, Lyon s’enrichit…

Au XVIIIe siècle, Lyon est une ville innovante et avant-gardiste au cœur des réseaux commerciaux, financiers et intellectuels.

Sensible aux idées des Lumières, riche et commerçante, Lyon connaît une croissance économique exceptionnelle avec le développement de la faïence, des armes et de la soierie, annonçant, notamment, les révolutions industrielles du siècle suivant.

La ville est au centre des débats littéraires et philosophiques qui animent la seconde moitié du siècle et un lieu de développement de la franc-maçonnerie.

C’est une cité qui imagine la ville de demain avec les ingénieurs et architectes fabuleux que sont Morand, Perrache ou Soufflot. Ces grands projets urbanistiques ont une résonance surprenante avec les grands chantiers de 2012, tels les aménagements du nouveau quartier de Confluence ou la réhabilitation de l’Hôtel-Dieu.

Informations pratiques

Musée Gadagne, musée d’histoire de Lyon

1 place du petit Collège

69005 Lyon

Du mercredi au dimanche de 11h00 à 18h30.

Tarifs exposition temporaire : 7 € / réduit 5 €

Gratuité : moins de 26 ans, demandeur d’emploi (sur présentation d’un justificatif à jour), personne en situation de handicap et son accompagnateur

Autour de l’exposition

Cette exposition s’accompagne d’un grand nombre d’activités, dont des visites guidées, des balades urbaines, des rendez-vous musicaux, des conférences.

Téléchargez le programme complet de l’exposition

Les compagnies théâtrales parisiennes aux XVe et XVIe siècles

Mardi 27 novembre 2012 à 17h30, par Marie Bouhaïk-Gironès, chargée de recherche au CNRS, Centre Roland Mousnier, Paris-Sorbonne.

Alors que l’on croyait que les premiers contrats de troupes théâtrales parisiennes dataient de la fin du XVIe siècle, les archives notariales de Paris ont révélé des contrats d’association d’acteurs dès la fin du XVe siècle, dans les premières séries conservées du Minutier central des notaires. L’analyse de ces premiers contrats, qui permettent de renouveler l’histoire du théâtre professionnel, est aussi l’occasion de revenir sur quelques parcours d’acteurs parisiens, celui de Pierre Gringore, écrivain, farceur et entrepreneur de mystères, de ses compagnons Maître Mitou, Jean Seroc, Jean du Pont Alais, Jacques le Bazochien et Maître Cruche, ou sur celui de Jean Anthoine et de sa femme, à la tête d’une compagnie franco-italienne au milieu du XVIe siècle.

Informations pratiques

Archives nationales, hôtel de Soubise, Chambre du Prince, 60 rue des Francs-Bourgeois, 75003 Paris (M° Rambuteau ou Hôtel de Ville).

Entrée libre dans la limite des places disponibles.

Présentation du parcours historique du Palais de la Porte Dorée

_ Le Palais est située à l’Est de Paris, dans un ensemble Arts-Déco exceptionnel classé monument historique. Laprade, Ducos de la Haille, Janniot, Sube, Prouvé, Ruhlmann… autant de grands noms qui ont signé l’architecture, la décoration et les aménagements du bâtiment.

Son histoire remonte à l’Exposition internationale de 1931 : sa vocation première fut d’être un musée des colonies, devant représenter les territoires, l’histoire de la conquête coloniale et l’incidence de celle-ci sur les arts. L’ancienne Salle des fêtes et les salons de réception du Maréchal Lyautey, Commissaire général de l’exposition, et de Paul Reynaud, Ministre des colonies, témoignent encore aujourd’hui de ce passé.

Le Palais change ensuite plusieurs fois d’attribution pour finalement abriter jusqu’en 2003, le Musée national des arts d’Afrique et d’Océanie, dont les collections ont été transférées au musée du quai Branly.

En 2004, seul l’Aquarium est encore ouvert au public ; l’État retient alors d’installer la Cité nationale de l’histoire de l’immigration dans le Palais.

En 2007, après une période de travaux de réaménagement conduits par Patrick Bouchain et Loïc Julienne de l’atelier Construire, la Cité ouvre ses portes dans ce monument chargé d’histoire et dont elle entretient et valorise aujourd’hui le patrimoine matériel et immatériel.

En accès libre dans le jardin et les espaces classés, cette première partie du parcours évoque les origines du Palais, son architecture, son décor, ses contributeurs, artistes et artisans.

Informations pratiques

Etablissement public du Palais de la Porte Dorée

293, avenue Daumesnil – 75012 Paris

01 53 59 58 60

Conférence le vendredi 7 décembre de 14h à 15h

Merci de confirmer votre venue à rsvp@histoire-immigration.fr

Goya en question?

_ L’oeuvre de Francisco de Goya provoque polémiques et débats depuis maintenant de nombreuses années. C’est là pourtant un processus tout à fait banal dans l’historiographie et bien d’autres maîtres de l’art moderne sont passés par de tel processus. À travers la révision du catalogue du jeune Goya (1746-1776), le contexte d’une Espagne des Lumières en mutation sera réévalué, témoignant de la difficulté à saisir la pluralité d’une école alors en plein essor.

Conférence organisée à l’occasion de l’exposition-dossier organisée par le musée du Louvre sur les problèmes d’attributions posés par les oeuvres de maturité de Goya (du 5 décembre 2012 au 7 janvier 2013)

Informations pratiques:

Conférence en espagnol de Frédéric Jimeno Solé (U. Paris 1 Panthéon Sorbonne)

22 novembre 2012 à 19h30

Colegio de España

7E bd Jourdan • 75014 Paris

(RER B Cité universitaire)

Séminaire d’initiation à la recherche en histoire de l’art moderne : Architecture, embellissements, jardins et territoire, 1700-1800.

_ Cet automne, Dominique Massounie reconduit le séminaire d’initation à la recherche en histoire de l’art moderne. Celui-ci porte sur l’architecture, les embellissements, les jardins et le territoire, de 1700 à 1800.

Présentation

L’objet de ce séminaire est de présenter les sujets de l’histoire de l’architecture et des jardins pour le XVIIIe siècle. Chaque séance, organisée comme un exposé-discussion, sera l’occasion de s’interroger sur les sources, les méthodes et les apports de ces différentes manières d’aborder l’histoire de l’architecture, en instituant sur leurs spécificités mais aussi et surtout sur leur complémentarité.

Programme

25 octobre – Francesco GUIDOBONI (doctorant, Rome III)

L’architecte Servandoni

8 novembre –Janine BARRIER (historienne de l’art)

L’architecture en Angleterre à l’époque moderne : une source d’inspiration pour Servandoni ?

15 novembre –Cécile LESTIENNE et Virginie MALHERBE (chercheurs, Inventaire général Bourgogne),

Les canaux de Bourgogne, la recherche à l’épreuve du terrain

22 novembre –Discussion

L’embellissement des villes et du territoire dans la seconde moitié du XVIIIe siècle : bilan historiographique et pistes de recherche

29 novembre –Agueda ITURBE-KENNEDY (doctante en histoire de l’art Université Laval-Québec/Université de Nantes)

Entrer dans la ville sous l’Ancien Régime (architecture, urbanisme et aménagement du territoire). Historiographie, approches méthodologiques et premiers résultats.

6 décembre –Anaïs BORNET (doctorante en histoire de l’art, Paris-Sorbonne)

Choisy-le-Roi, le château, les jardins et la ville

13 décembre – Claire OLLAGNIER (doctorante en histoire de l’art)

De la petite maison à la maison individuelle, 1770-1810

20décembre – Chao-Ying LEE (université de Taïwan, professeure invitée à Paris Ouest)

Les illustrations des récits de voyages sur l’ile de Formose au XVIIIe siècle : la carte et les représentations aborigènes

Une visite sera organisée pour la dernière séance.

Informations pratiques

Séminaire de master 1 ouvert aux M2, doctorants, chercheurs et amateurs, en tant qu’auditeurs libres

jeudi 12h à 14h

Salle D112, bâtiment D, premier étage

Université Paris Ouest Nanterre La Défense

Rer A: Université de Nanterre

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