Le samedi 23 janvier 2010 les membres du GHAMU étaient réunis en A.G. ordinaire pour prendre connaissance du bilan de l’année 2009 et du programme des activités de 2010. Le Président accueille les participants et renouvelle les vœux de l’association pour une brillante et conviviale année 2010.
La prochaine assemblée générale du Ghamu (exercice 2009) se tiendra à l’Institut national d’histoire de l’art, 6 rue des Petits-Champs, 75002 Paris.
Le voyage annuel du Ghamu, organisé par le professeur Carlo Mambriani de l’Université de Parme, sera consacré au XVIIIe siècle et en particulier à l’œuvre d’Ennemond-Alexandre Petitot et ses élèves.
Olivier Choppin de Janvry nous invite à consulter l’article « Le golf, le maire et le Désert de Retz » publié sur la Tribune de l’art en février 2010.
Le Désert de Retz, cette folie du XVIIIe siècle créée par M. de Monville, l’un des derniers parcs à fabriques subsistant en France, serait-il sauvé grâce à l’action quasi héroïque de Pierre Morange ?
Le dossier de l’art numéro 170 propose de redécouvrir à travers un enquête exceptionnelle menée par Guillaume Kazerouni et Lionel Britten, le patrimoine pictural des églises de Paris au XVIIIe siècle.
Valérie Montalbetti, convervatrice des collections de la Fondation de Coubertin nous informe de la prochaine exposition consacrée au sculpteur Ousman Sow
Ce colloque est annoncé par Jean-Luc Maeso, directeur du Centre culturel français.
Le présupposé de ce colloque, soumis à discussion, est que l’art musical, admis comme objet et partie des beaux-arts, institue lui-même un système de représentation de la nature. Le débat s’appuiera principalement sur la lecture raisonnée des écrits artistiques parus en France depuis la publication du Cabinet des beaux Arts de Perrault (1690) jusqu’à la parution de l’Essai sur le perfectionnement des beaux-arts de Révéroni Saint-Cyr (1803) – qu’ils soient théoriques ou critiques, pour autant qu’ils mettent en jeu la place et le rôle de la musique dans le système des beaux-arts.
Colloque international d’histoire de l’art ; Paris, 17-18-19 décembre 2009
Avec l’invention du Public, le rôle de la critique et des médias, la culture encyclopédiste, la réévaluation des valeurs du passé et la politique réformatrice qui facilite l’émergence d’un nouvel art urbain face à l’art de cour, ce sont autant de questions apparues en Europe au XVIIIe siècle que l’histoire stylistique des œuvres et des artistes, traditionnelle, ne traite guère.
Ce séminaire est consacré à un bilan de dix-huit années de recherches au Centre Ledoux. Thèses de doctorats, conférences, colloques et publications, sur l’art du XVIIIe siècle touché par la pensée des Lumières, feront l’objet d’un examen en fonction d’une historiographie critique globale de la période étudiée et des questions posées dans le cadre d’une histoire culturelle de l’art qui s’est développée depuis les recherches des années 1970-1980…